Le domaine d’excellence de Simul-Actum.fr : la cindynique ou discipline des sciences du danger et des risques (son anglicisme : Risk Management).
Naf principal : 74.90B : Activités spécialisées, scientifiques et techniques,
services de conseil en sécurité, ingénierie et conseil technique.
Naf secondaire :
70.22Z : Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion
66.21Z : Évaluation des risques et dommages
Au quotidien, Simul-Actum.fr vous accompagne dans l’animation et la coordination des systèmes de management de la sécurité des personnes et des biens, de la sûreté de fonctionnement, de la maintenance et des travaux tous corps d’état (TCE).
Nous sommes, aux organismes, tel un médecin spécialiste du management des risques. Nous établissons le diagnostic avec l’organisme, puis nous réalisons, avec vous et vos équipes, votre ordonnance. Par contre, nous nous refusons aux illusoires solutions sur étagère tel le plat industriel à réchauffer. Ces pratiques, contraires aux règles de l’art, s’avèrent toujours néfastes sur le coût total de possession (dis aussi TCO ou encore le coût global du berceau à la tombe).
La doctrine d’emploi de la cindynique diffère totalement de celle des chargés de sécurité et consorts. Praticien pragmatique, notre expertise constitue une offre de placement pérenne vous permettant de transformer vos risques en une opportunité de retour sur investissement sur vos cinq enjeux fondamentaux, humain, sociétal, temporel et réglementaire. L’enjeu économique est le dernier; il est composite et consécutif des coûts directs et indirects des quatre premiers et de lui même.
En bref, notre démarche, c’est construire…
Pas de sécurité, pas de business ! (Maslow)
Au seins des magasins, les produits sont standardisés, le prix aussi
Nos clients sont uniques, nos offres sont donc personnalisées
En théorie, toute personnes à le droit de rédiger ce type de notice de sécurité, car elle relève de la responsabilité du chef d'établissement; mais ça, c'est la théorie.
Une notice de sécurité matérialise un travail d'analyse des risques de lutte incendie et contre les risques de panique pour un établissement recevant du public (ERP), donc un établissement recevant des travailleurs (ERT).
Vous pouvez donc réaliser une insipide notice, juste froidement administrative, ou vous pouvez la réaliser dans les règles de l'art. Cela implique des compétences particulières de haut niveau. Ce sont surtout des personnes disposant de la qualification SSIAP3 ou du PRV2, éventuellement du DUT HSE sécurité des populations, mais c'est plus fragile.
C’est, d’une manière générale, une technique d'organisation et de gestion des entreprises qui vise à obtenir le résultat escompté d’un travail réaliser par un groupe de personne. Ce n’est pas forcément hiérarchique.
Définition professionnelle générale :
Selon l’ ISO 9000:2015(fr) Systèmes de management de la qualité
Principes essentiels et vocabulaire
art 3.3.3. Management
activités coordonnées pour orienter et diriger un organisme (3.2.1).
Note 1 à l’article: Le management peut inclure l'établissement de politiques (3.5.8) et d'objectifs (3.7.1), et de processus (3.4.1) pour atteindre ces objectifs.
Note 2 à l’article: En français, le terme «management» désigne parfois des personnes, c'est-à-dire une personne ou un groupe de personnes ayant les responsabilités et les pouvoirs nécessaires pour la conduite et la maîtrise d'un organisme. Lorsque le terme «management» est utilisé dans ce sens, il convient toujours de l'associer à une certaine forme de qualificatif pour éviter toute confusion avec le concept de «management» défini ci-dessus en tant qu'ensemble d'activités. Par exemple, l'expression «le management doit…» est déconseillée alors que l'expression «la direction (3.1.1) doit…» est acceptable. Sinon, il convient d'employer d'autres termes pour exprimer le concept lorsqu'il se rapporte à des personnes, par exemple managers ou dirigeants.
Les 4 principaux axes de management
Le management hiérarchique (management vertical)
Le management hiérarchique, également appelé management vertical, est un mode de gestion où les décisions circulent du haut vers le bas. Ainsi, les dirigeants d'entreprise décident et chaque strate de l'entreprise exécute en fonction de ses responsabilités.
Le management hiérarchique est-il encore viable et pertinent ?
Le management transversal (management horizontal)
Le management transversal consiste à faire travailler temporairement plusieurs équipes ensemble, ou des salariés ayant des compétences différentes, vers un objectif commun. Sans qu'aucun lien hiérarchique n'existe entre eux. Bien que chacun d'entre eux puisse avoir une hiérarchie propre. C’est le management le plus noble.
Cadremploi : Qu'est-ce que le management transversal ?
Le management opérationnel (le court et moyen terme, le quotidien)
Le management opérationnel concerne la gestion courante de l'entreprise. Il s'agit de l'ensemble des techniques centrées sur l'organisation des activités quotidiennes, avec des objectifs fixés à court et moyen terme.
Le manager opérationnel est un responsable d'équipe. L'organisation est donc une fonction clé du management opérationnel.
Trois dimensions le caractérisent : organisationnelle, technique, humaine
Cadreemploi : Qu'est-ce que le management opérationnel ?
Le management stratégique (le moyen et le long terme, prospective)
Cette discipline correspond à l'ensemble des décisions prises par la direction de l'entreprise, ayant un impact à moyen et à long terme et qui visent principalement à définir la stratégie de l'entreprise et garantir son développement et sa pérennité.
Le manager stratégique doit garantir la pérennité de sa société et en assurer le développement à long terme. C'est donc un management de direction.
Cinq dimensions le caractérisent : technique, humain, organisationnelle, économique et stratégique
Le management stratégique: de multiples avantages pour les entreprises
Dans le champ lexical, nous trouvons, par exemple :
art 3.5.1. système
ensemble d'éléments corrélés ou en interaction
art 3.5.3. système de management
ensemble d'éléments corrélés ou en interaction d'un organisme (3.2.1), utilisés pour établir des politiques (3.5.8), des objectifs (3.7.1) et des processus (3.4.1) de façon à atteindre lesdits objectifs
Note 1 à l’article: Un système de management peut traiter d’un seul ou de plusieurs domaines, par exemple management de la qualité (3.3.4), gestion financière ou management environnemental.
Note 2 à l’article: Les éléments du système de management comprennent la structure, les rôles et responsabilités, la planification, le fonctionnement de l’organisme, les politiques, les pratiques, les règles, les convictions, les objectifs et les processus permettant d'atteindre ces objectifs.
Note 3 à l’article: Le périmètre d'un système de management peut comprendre l'ensemble de l'organisme, des fonctions ou des sections spécifiques et identifiées de l'organisme, ou une ou plusieurs fonctions dans un groupe d'organismes.
Note 4 à l’article: Il s'agit de l'un des termes communs et définitions de base pour les normes de systèmes de management de l'ISO, donnés dans l'Annexe SL du Supplément ISO consolidé aux Directives ISO/IEC, Partie 1. La définition initiale a fait l'objet d'une modification des Notes 1 à 3 à l'article.
Qu’est-ce que la sécurité économique ?
Le décret n° 2019-206 du 20 mars 2019
relatif à la gouvernance de la politique de sécurité économique apporte une réponse au niveau macro, c’est-à-dire au niveau d’une nation.
Article 1
I. - La politique de sécurité économique vise à assurer la défense et la promotion des intérêts économiques, industriels et scientifiques de la Nation, constitués notamment des actifs matériels et immatériels stratégiques pour l'économie française. Elle inclut la défense de la souveraineté numérique.
II. - L'instruction des décisions proposées au conseil de défense et de sécurité nationale en matière de sécurité économique et le suivi de leur mise en œuvre sont coordonnés par le comité de liaison en matière de sécurité économique.
Présidé par le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, ce comité réunit, outre le coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, les représentants des ministres chargés de la transition écologique et solidaire, des armées, des solidarités et de la santé, de l'économie et des finances, de l'action et des comptes publics, de l'intérieur, de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, de l'agriculture et de l'alimentation. Des représentants d'autres ministères peuvent également être invités en fonction de l'ordre du jour du comité.
Il coordonne les actions menées par les services de l'Etat en matière de sécurité économique.
Il concourt à la cohérence des politiques publiques mises en œuvre par chaque ministère concerné avec la politique de sécurité économique.
Selon le portail de l’IE :
La sécurité économique est la matérialisation d’un politique d’Etat visant à protéger et à promouvoir les intérêts stratégiques d’une nation. Dans son volet défensif, la sécurité économique regroupe les activités suivantes protection du patrimoine, délimitation des périmètres industriels et technologiques critiques et la lutte contre les activités de renseignement économique étrangères. Dans une perspective offensive, il s’agit notamment d’accompagner le développement à l’international des firmes.